projet d'établissement
Pour nous, une bonne école, c’est…
une école qui permet l’épanouissement de chacun dans ses relations avec les autres car les relations humaines sont enrichissantes, on s’y sent bien, on y aime travailler et on y propose les valeurs chrétiennes.
Dans cette optique :
- chaque acteur joue son rôle [dans les limites de son statut et des attentes que les autres peuvent en avoir] :
a) l’élève est celui qui vient à l’école :
- pour apprendre, avec motivation, curiosité et respect, des connaissances, des savoir-faire et des savoir-être ;
- pour rencontrer les autres dans toute leur richesse et leur différence.
b) le membre de la communauté éducative est celui qui :
- met l’élève au centre de ses préoccupations ;
- rend les élèves acteurs ;
- donne le maximum de chances pour le supérieur ;
- sait s’adapter aux élèves d’aujourd’hui et de demain ;
- suit des formations utiles dans la poursuite de son rôle ;
- crée les conditions nécessaires pour susciter la motivation.
c) les parents sont ceux qui secondent activement leur enfant dans son apprentissage, en respectant son autonomie et l’aident ainsi à grandir, dans un climat familial serein.
- chaque acteur est respecté dans son identité :
a) il n’est pas un numéro ;
b) il est accueilli, écouté et encouragé ;
c) il voit ses valeurs acceptées (dans les limites en vigueur).
- l’ouverture sur le monde extérieur est encouragée :
a) en investissant dans des moyens techniques modernes ;
b) en proposant aux élèves une compréhension du monde
c) en préparant les élèves à la solidarité, à la citoyenneté et à l’esprit critique.
Un cadre légal est respecté et précisé aux points de vue :
- des exigences pédagogiques ;
- des moyens de les appliquer ;
- du plan administratif (mais avec regard critique posé sur celui-ci)
- des règles strictes et claires de la vie quotidienne.
Le sens d’une école, et plus particulièrement d’une école chrétienne, sera ainsi rencontré au mieux.
« L’éducation est plus qu’un métier : c’est une mission, qui consiste à aider chaque personne à reconnaître ce qu’elle a d’irremplaçable et d’unique, afin qu’elle grandisse et s’épanouisse. » (Jean-Paul II)